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Formations professionnelles en immobilier : réduction avec notre partenaire Lyadis Immobilier

Dans une démarche constante d’accompagnement et de développement des compétences de ses clients, professionnels de l’immobilier, notre équipe ImmoPad est fier de vous annoncer notre nouveau partenariat avec Lyadis Immobilier. Cette collaboration offre une opportunité unique à nos abonnés ImmoPad d’accéder à des formations professionnelles en immobilier, de qualité, dispensées par un organisme reconnu par l’État.

Qui est Lyadis Immobilier ?

Lyadis Immobilier, a su au fil des années se positionner rigoureusement dans le domaine des formations professionnelles en immobilier. Proposant un catalogue varié de formations en présentiel, en classe virtuelle et en e-learning, Lyadis Immobilier accompagne les professionnels du secteur dans le développement de leurs compétences. Grâce à des approches pédagogiques innovantes et adaptées, chaque apprenant bénéficie d’une formation sur mesure, répondant parfaitement à ses besoins spécifiques.

Lyadis est un centre de formation certifié ISO 9001 et QUALIOPI.

AFAQ - certification lyadis pour des formations professionnelles en immobilier
Qualiopi - certification lyadis pour des formations professionnelles en immobilier

Une sélection de formations professionnelles de qualité

Lyadis Immobilier propose un large éventail de formations répondant aux besoins variés des professionnels de l’immobilier.

Que vous souhaitiez approfondir vos connaissances :

  • en transaction vente et/ou location,
  •  en gestion de copropriété-syndic,
  • sur la rénovation énergétique,
  • En matière de fiscalité immobilière,
  • ou encore en gestion locative et baux d’habitation.

Vous trouverez chez Lyadis Immobilier des formations adaptées à vos besoins spécifiques et éligible loi ALUR.

De plus, des formations corporates sont également disponibles. Elles couvrent des thématiques telles que la gestion de l’entreprise, le management, les ressources humaines et la qualité de vie au travail.

Plateforme F Immobilier : La solution de gestion de la formation

Par ailleurs, Lyadis Immobilier propose ses formations sur la plateforme F Immobilier. Grâce à quoi vous disposerez de :

  • un suivi automatique des formations et des obligations
  • une gestion documentaire efficace pour tous les collaborateurs,
  • une solution zéro papier.

En outre, en éliminant toutes les tâches administratives sans valeur ajoutée, la Plateforme F Immobilier permet à chacun de gagner un temps précieux.

Ainsi, aucun logiciel n’est nécessaire à installer, puisque les comptes sociétés et apprenants sont entièrement en ligne. Avec cette solution innovante, la gestion de la formation immobilière devient plus simple, plus rapide et plus efficace que jamais.

Les avantages du partenariat ImmoPad – Lyadis Immobilier

En souscrivant à un abonnement ImmoPad, vous bénéficiez d’un code promotionnel vous offrant une réduction exclusive de 15% sur votre premier achat chez Lyadis Immobilier. Cette opportunité vous permet donc d’accéder à un enseignement de qualité tout en réalisant des économies significatives.

Pourquoi investir dans des formations professionnelles en immobilier ?

Premièrement, investir dans sa formation professionnelle est un choix stratégique et essentiel pour tout agent immobilier ou gestionnaire locatif souhaitant se démarquer dans un secteur en constante évolution.

En effet, la législation, les outils et les pratiques immobilières sont en perpétuelle mutation. Et il est primordial de se tenir constamment informé des nouvelles réglementations et pratiques du marché. En participant à des formations de qualité, les professionnels de l’immobilier peuvent acquérir de nouvelles compétences. Ils actualisent aussi leurs connaissances et renforcent leur expertisent. Tout ceci leur permettra de mieux répondre aux attentes de leurs clients. Ce, dans le but de se positionner en tant que références dans leur domaine d’activité.

Deuxièmement, investir dans sa formation professionnelle permet également de stimuler sa motivation, d’élargir son réseau professionnel et d’augmenter ses perspectives d’évolution de carrière.

Les avantages de la formation pour les professionnels de l’immobilier

  • Actualisation des connaissances : restez informé des dernières évolutions législatives et des meilleures pratiques du secteur.
  • Amélioration des compétences : développez de nouvelles compétences et renforcez votre expertise pour mieux répondre aux besoins de vos clients.
  • Avantage concurrentiel : démarquez-vous de la concurrence en proposant un service de qualité supérieure.
  • Évolution de carrière : augmentez vos perspectives d’évolution professionnelle en vous positionnant en tant qu’expert reconnu dans votre domaine.

Pourquoi prendre un abonnement chez ImmoPad ?

Pour commencer, ImmoPad offre bien plus qu’une simple solution de constat immobilier numérique. Avec notre expérience solide depuis bientôt 15 ans, et notre statut de référence en matière d’états des lieux numériques, notre solution simplifie la gestion quotidienne des professionnels de l’immobilier. Avec notre application d’état des lieux, disponible hors connexion, les gestionnaires et diagnostiqueurs gagnent au moins quinze minutes sur leurs divers constats. 

De plus, nous facilitons la coordination et le suivi des interventions sur les parcs immobiliers grâce à :

  • notre espace de gestion intégré,
  • nos abonnements rentables
  • et notre accessibilité sans faille.

En outre, nos options avancées en font un outil incontournable pour optimiser la gestion immobilière, telles que :

Nos services d’assistances ont aussi ravi nos 2500 clients comme :

  • Les démonstrations gratuites de notre commercial
  • Les prises en main gratuites de notre collaboratrice
  • Un chatbox en ligne pour répondre à toutes les questions
  • Une assistance téléphonique, sur option, pour vous faire aider par l’un de nos collaborateurs

Avec la confiance de nos 8000 utilisateurs, notre application ImmoPad continue de se positionner comme le partenaire idéal pour répondre aux besoins des professionnels de l’immobilier.

En conclusion, le partenariat entre ImmoPad et Lyadis Immobilier offre une opportunité unique aux professionnels de l’immobilier. Ils pourront bénéficier de formations de qualité, adaptées à leurs besoins spécifiques. En investissant dans votre formation professionnelle, vous investissez dans votre succès et votre avenir dans le secteur immobilier. Profitez dès maintenant de cette offre exclusive et boostez votre expertise avec ImmoPad et Lyadis Immobilier !

Chaque année, en France, les règles d’expulsions prennent en compte la fameuse trêve hivernale. Et ce, depuis 1954. En quoi consiste-t-elle ? Pourquoi est-elle mise en place ? Jusqu’à quand et qui peut en bénéficier ? On répond à toutes vos questions à propos de la Trêve hivernale 2023 – 2024 dans notre article !

Qu’est-ce que la Trêve Hivernale ?

La trêve hivernale correspond à une période définie, durant laquelle les procédures d’expulsions d’un propriétaire envers un locataire sont interdites. Ce qui signifie qu’en cas d’impayés, le locataire ne pourra pas être expulsé du logement. Et ce, pendant toute la période de la trêve hivernale. Et ce, même si le bailleur a acquis une décision de justice prononçant l’expulsion du loueur.

Par ailleurs, la trêve hivernale ne concerne pas uniquement les loyers. Même en cas de facture impayée, les locataires peuvent être protégés contre les coupures d’énergies.

En effet, la loi interdit aux bailleurs de couper les réseaux d’énergie du locataire pendant la trêve hivernale. L’interdiction est similaire pour les fournisseurs d’énergies, mais seulement pour les résidences principales des locataires. Néanmoins, ils peuvent éventuellement procéder à une réduction de la puissance des énergies fournies. Excepté pour les loueurs bénéficiaires du chèque énergie.

Quand se déroule la trêve hivernale 2023 – 2024 ?

Comme chaque année, la trêve hivernale a commencé le 01 novembre 2023 et s’achèvera au 31 mars 2024.
Pour rappel, le président de la république française, Emmanuel Macron, a prolongé la trêve hivernale 2020 jusqu’au 31 mai à cause de l’épidémie de coronavirus. Elle pourrait donc être replongée en cas de nouvelle crise sanitaire, ou en cas de températures extrêmement basses.

Pourquoi la trêve hivernale existe-t-elle ?

La trêve hivernale a été instaurée pour protéger les locataires des expulsions durant la période hivernale. Une période considérée comme la plus rude de l’année. En effet, les conditions climatiques peuvent rendre l’expulsion d’un logement particulièrement difficile et dangereuse, tant pour le locataire que pour les forces de l’ordre. C’est d’ailleurs ce qui est arrivé en 1954. Ce qui a entraîné un appel de l’Abbé Pierre à la suite d’un hiver particulièrement meurtrier pour les sans-abris. C’est ainsi que la trêve hivernale s’est inscrite dans les textes de loi à partir de 1956. Si elle débutait initialement le 1ᵉʳ décembre et s’achevait le 15 mars, sa période fut rallongée aux fils des années pour atteindre sa durée actuelle en 2014, avec l’instauration de la Loi ALUR. On retrouve aussi la trêve hivernale dans le Code des procédures civiles d’exécution, à l’article L. 412-6.

Si le locataire est informé d’une coupure imminente, il est en droit d’agir auprès de son fournisseur pour rétablir la situation. De même, il est en droit de porter plainte face à un bailleur qui lui aurait coupé ses accès énergétiques.

Quelles sont les personnes qui ne sont pas protégées par la trêve hivernale 2023 – 2024 ?

Bien qu’une grande partie des profils locataires soient protégés par la trêve hivernale, il existe néanmoins certaines situations où les loueurs ne sont pas sous la protection de la trêve hivernale :

  • les personnes qui bénéficient d’un relogement correspondant à leurs besoins familiaux ;
  • les squatteurs occupant un domicile, qu’il s’agisse d’une résidence principale ou secondaire ;
  • les squatteurs occupant un garage ou un terrain. Dans ce cas, le juge qui prononce l’expulsion peut décider de supprimer la trêve hivernale ou d’en réduire la durée ;
  • l’époux dont l’expulsion du domicile conjugal a été ordonnée par le juge aux affaires familiales dans le cadre de l’ordonnance de non-conciliation d’une procédure de divorce ;
  • l’époux, partenaire de Pacs ou concubin violent dans le couple ou sur un enfant dont l’expulsion du domicile familial a été ordonnée par le juge aux affaires familiales dans le cadre d’une ordonnance de protection.

Peut-on expulser un locataire durant la trêve hivernale 2023 – 2024 ?

Non. À moins que le profil du locataire corresponde à l’un des profils non-protégé cités ci-dessus. Plus précisément, la trêve hivernale empêche tout engagement d’une procédure d’expulsion à l’égard de tous individus loueur, d’un logement vide ou meublé.

Or, si la procédure d’expulsion a été engagée avant le 01 novembre 2023, mais qu’elle n’a pas pu aboutir, l’huissier devra cesser toutes ses démarches jusqu’au 31 mars 2024. La procédure pourra alors reprendre en avril.

Néanmoins, notez que la trêve hivernale n’empêche que l’exécution de la décision sur une période donnée. Propriétaires et bailleurs sont donc parfaitement dans leurs droits d’entamer les démarches d’expulsion contre un locataire pendant cette période. D’autant plus que ce type de procédure est particulièrement long. C’est pourquoi il est même conseillé de ne pas attendre la fin de la trêve pour commencer les démarches contre un locataire ne respectant pas son contrat de bail.

Quelles sanctions pour irrespect de la trêve hivernale 2023 – 2024 ?

Si un propriétaire essai, par quelconque moyen que ce soit, d’expulser son locataire durant la période de la trêve hivernale, son acte sera reconnu comme un délit face au tribunal. Cet acte peut alors être puni d’une peine de prison jusqu’à trois ans, et 30 000 euros d’amende.

Pour conclure, la trêve hivernale 2023 – 2024 s’étend du 01 novembre 2023 au 31 mars 2024. Pendant cette période, aucune exécution d’expulsion ne pourra être réalisé. À moins que la situation du locataire corresponde à la liste des profils non-protégé. Cette trêve hivernale a été créée en 1954 à la suite d’un appel de l’Abbé Pierre, et ce, pour protéger les locataires âgés, malades et/ou vulnérable d’une expulsion qui pourrait leur coûter la vie durant la période hivernale. Propriétaires et bailleurs ne respectant pas cette trêve s’exposent à 3 ans d’emprisonnement pour délit, et 30 000 euros d’amende.

         Bien souvent, c’est après avoir emménagé que l’on remarque défauts et incommodités dans le logement. On découvre une petite fuite au niveau du robinet de la cuisine ou un problème de pression dans le pommeau de douche. Chaque nouveau petit problème devrait être relevé sur votre état des lieux pour vous protéger en tant que locataire. Dans cet article, nous vous listons l’ensemble des éléments pour réaliser conformément un avenant à un état des lieux.

Les raisons de modifier son état des lieux

Pour commencer, vérifiez quelles sont les raisons valables qui autorisent un changement de votre état des lieux d’entrée.

Côté locataire :

  • Vices et équipements défaillants : il est possible de modifier l’état des lieux, dans le temps imparti, si le locataire remarque des vices au sein du logement, ou la présence d’équipements abîmés ou défaillants.
  • Chauffage : s’il existe des problèmes ou des défaillances sur l’équipement relatif à la chaudière et son système

Côté bailleur :

  • Si le propriétaire souhaite réaliser des travaux après l’entrée du locataire dans le logement. Dans ce cas, l’avenant à l’état des lieux servira de preuve juridique prouvant que les travaux ont bel et bien étaient réalisés. Évidemment, les travaux peuvent aussi être apportés par le locataire, mais si et seulement si le propriétaire a donné son approbation.

Quel délai autorisé pour réaliser un avenant à son état des lieux ?

Depuis mars 2014, la loi ALUR impose un délai de modification de l’état des lieux initialement signé.

Pour commencer, le locataire dispose de 10 jours à compter de la date de la signature de l’état des lieux pour ajouter son avenant à ce dernier. Et donc le faire parvenir à son bailleur et/ou gestionnaire. Seuls les nouveaux éléments du logement ou les travaux réalisés durant cette période sont autorisés.

Cependant, si les modifications concernent le chauffage, la loi ALUR précise dans ce cas que le délai est d’un mois.

Pendant cette période, il est important d’accepter la révision du premier état des lieux signé, si le locataire en fait la demande. Ainsi, vous éviterez un désagrément s’il saisit la commission départementale de conciliation dans lequel est régi ledit logement.

À la suite des travaux éventuellement réalisés, sachez que vous avez une quinzaine de jour pour signer ledit avenant à l’état des lieux. Vous, gestionnaire ou le bailleur, et évidemment le locataire. Ce délai est important à respecter afin que, en cas de dégradations, le bailleur puisse prouver l’état initial des éléments juste après les travaux.

Les éléments obligatoires d’un avenant à un état des lieux :

Encore une fois, la loi ALUR précise les éléments qui doivent figurer dans l’avenant d’un état des lieux :

  • Objet du document, comportant : « avenant état des lieux d’entrée »
  • Informations et coordonnées du bailleur ainsi que le locataire comme la civilité, la date et lieu de naissance, adresse postale, numéro de téléphone et enfin l’adresse email
  • Date et lieu de signature de l’état des lieux d’entrée, et date et lieu de la signature de son avenant
  • Date d’entrée dans les lieux du locataire
  • Mention de l’établissement contradictoire de l’état des lieux
  • Raison de cette contradiction : vices, travaux, etc.
  • Modifications apportées
  • Signature de chaque partie

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